Nulla dies sine linea

Nulla dies sine linea est un journal. Un journal inachevé. En 1994, Saura s’impose de peindre un dessin chaque jour pendant une année, sur un support unique (tous les papiers sont de la même nature), de format unique (41 x 31 cm), avec une palette unique (même encre, mêmes crayons, mêmes peintures acryliques). «Pendant cette année» dit Saura, «je fais un dessin par jour à partir d’un fait divers ou d’une image trouvée dans la presse du jour».

Antonio Saura. Nulla dies sine linea. Patrick Cramer Editeur, 1999.Volume cousu fil de 600 pages, 218 reproductions en couleurs et 365 coupures de presse, relié plein carton recouvert de toile grise, couverture illustrée en couleurs, 23 x 18 cm.
Version française.

Prix : 80 chf

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